Témoignages de clients ayant déménagés en Val d'Oise

J’ai quitté Paris avec pour projet de devenir propriétaire et de fonder une famille. Nous nous sommes installés à Cergy. Nous payons autant de crédit que ce nous coûtait notre loyer, donc financièrement ça n’a pas changé grand-chose. Je vivais à 5 min à pied du travail et je me suis retrouvée à presque une heure, mais ça valait le coup ! Mon mari n’a presque pas changé son temps de trajet car il faisait plusieurs changements de métro et aujourd’hui tout est sur la ligne A. Nous sommes heureux d’avoir quitté Paris pour profiter des avantages de Paris sans ses défauts.
Emmanuelle, 30 ans
Les petits appartements parisiens, mal isolés, sans espace vert personnel ne nous convenaient plus. On rêvait d’une maison, un jardin, un endroit plus calme où l’on peut laisser ses fenêtres ouvertes sans être dérangé par le bruit constant. Nous voulions être pas trop loin de Paris, à proximité de commerces. On a donc opté pour Argenteuil avec ses coteaux qui nous mènent à Paris en 12 minutes.
Carole et ses 2 enfants, 33 ans
Le confinement et l’arrivée de notre deuxième enfant ont accéléré notre projet de quitter Paris intramuros. Nous avons souhaité retrouver un meilleur cadre de vie, un rythme moins rapide et surtout un jardin pour nous et les enfants. Pour cela, nous nous sommes installés à Eaubonne.
Lama, 35 ans
Nous vivions à Paris depuis 5 ans avec mon compagnon. J’avais obtenu un logement dans le 12ème, 40m2 à deux, nous y étions très heureux. Je suis tombé enceinte et louer plus grand à Paris avec nos salaires était compliqué. Mon compagnon est commercial et gère le nord de l’île de France et la Picardie. Je travaille pour ma part sur les Champs-Elysées. Il nous fallait trouver un bon compromis : une ville accessible financièrement et pas trop éloignée de Paris. Argenteuil offre un accès direct à l’autoroute A15, ce qui ravit mon mari et je suis à 10 min en train de la gare Saint-Lazare ! Le quartier où nous vivons est génial et nous n’avons aucun regret !
Karima, 38 ans
Nous cherchions plus d’espace et souhaitions un jardin, c’était important d’être au calme car Paris était devenu oppressant pour fonder une famille... Nous nous sommes installés à Eaubonne car nous sommes bien desservis et nous aimons retourner à Paris pour faire des cinés, concerts, restos..​.
Kim, 42 ans
Locataires sur Paris, nous voulions acheter notre première résidence principale. Notre budget nous permettait à peine d’acquérir un petit studio. Or nous étions déjà parents d’une petite fille. Acheter en banlieue à Sannois a été notre seule possibilité de devenir propriétaires.
Juliette, 42 ans
Après 45 ans a Paris, notre famille de six avait besoin d’espace. Argenteuil est proche de Paris, la qualité de vie y est meilleure, il y a beaucoup moins de bruits extérieurs et plus de nature. Malheureusement, il y a moins de vie culturelle et peu de magasins mais Paris est à seulement 15 minutes, alors il est facile de s’y rendre occasionnellement.​
Sofiane, 45 ans
Je suis partie d’abord pour trouver un logement abordable puis je suis restée loin de Paris par choix. Plus on s’éloigne et moins on regrette. J’ai gagné en qualité de vie et pourtant j’étais dans un bel appartement dans un beau quartier. Mais une maison avec jardin et sans voisin au dessus ou en dessous c’est tellement mieux. Pour cela, j’ai choisi la ville d’Herblay-sur-Seine.
Stéphanie, 48 ans
Nous avons déménagé à Deuil-la-Barre pour le travail de mon mari et du fait du manque de place à Paris quand on a eu des enfants. De plus, le prix de l’immobilier est bien plus attractif dans ce secteur. Il était également important d’avoir la présence d’un jardin pour les enfants.​
Laure, 48 ans
Je payais un loyer assez cher, alors nous avons pensé à l’achat. Et lorsque j’ai vu que pour le prix d’un appartement de 60m2 à Paris je pouvais me payer une maison de 120m2 avec jardin à 6km de la Porte d’Italie, j’ai dit « on passe le périph » ! J'ai passé la moitié de ma vie à Paris sans avoir besoin de voiture, et j’adorais ça, mais je ne regrette rien. J’y suis restée bien proche et j’y retourne constamment pour le cinéma, le théâtre, les expositions et les balades dans les rues illuminées le soir. J’habite dans une ville dortoir, L’Hay-les-Roses, où il n’y a rien mais le métro arrivera en 2024 et nous pourrons aller en transport à la capitale.
Corinne, 49 ans
J’ai déménagé de Paris pour rejoindre le 95, à Enghien-les-bains. J’y ai trouvé une petite maison en meulière avec un jardin. Celle-ci m’a coûtée le prix que j’aurais déboursé pour un studio à Paris.
Lydie, 50 ans
Je ne supportais plus la pollution de Paris. Un jardin pour mes deux filles était important à l’époque car je connaissais par cœur le parc près de chez moi. Je voulais pouvoir recevoir dans mon jardin et avoir de la verdure. Il était nécessaire aussi de quitter cet anonymat parisien. Mais je ne voulais pas d’une ville dortoir, mais plutôt trouver un esprit provincial et c’est ce qu’il y avait à St Leu la forêt.
Natacha, 50 ans
Le loyer et la vie parisienne étaient très chers. De plus, les Parisiens ne sont pas agréables, voire prétentieux. Le bruit ainsi que le manque de « vert » me pesaient (...) C’est pourquoi, nous avons quitté Paris pour déménagé à Eragny.
Valérie, 55 ans
Je suis mariée, deux enfants. J’habitais le 20e arrondissement de Paris. J’ai été poussé par le prix du m2, ainsi que par l'insécurité à l’école publique. Je voulais m'offrir la possibilité de faire facilement des balades en forêt. Je me suis installée à Ermont depuis plus de 20 ans aujourd’hui.
Sylvie, 56 ans
La raison pour laquelle je suis partie est mon envie d’habiter dans un pavillon. Cependant, j’étais contre la « maison de campagne ». Les avantages que j’ai découvert, sont d’être dans une petite ville, d’avoir un jardin, d’être au calme. Les inconvénients étaient les transports. J’avais 1h15 de trajet entre mon domicile et mon bureau. Il fallait courir pour récupérer les enfants et nous n’avions pas de portable en 1985 lorsque nous avons déménagé à Saint Leu la forêt !
Evelyne, 64 ans

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